Et si la ménopause était le vrai départ de ta vie ?
Pas celle où tu as toujours dû gérer. Celle que tu veux vraiment incarner.
Moi, c’est Stéphanie.
49 ans, kiné depuis plus de 25 ans, et en pleine périménopause. Comme toi, j’ai d’abord résisté. Colère contre ce corps en changement que je ne comprenais plus, nostalgie de celle que j’étais avant les premiers symptômes de la ménopause. Et cette sensation d’avoir mis ma vie sur pause trop longtemps...
Je suis aussi celle qui connaît par cœur le goût des nuits en sueur, la surprise de voir la balance grimper sans jamais redescendre, et ce moment où tu regardes ton reflet en te demandant : "Où est passée celle que j’étais?"
Pourquoi j’ai choisi d’accompagner les femmes de 45 à 55 ans
Aujourd’hui, je suis coach. Et j’accompagne les femmes à transformer cette période charnière — malgré fatigue, prise de poids, humeur en dents de scie, perte de repères — en une force motrice pour changer ce qui doit l’être.
Parce qu’on a passé des années à assurer pour tout le monde. Là, on va commencer à vivre pour nous.
Et ce n’est pas un hasard si j’ai choisi d’accompagner spécifiquement les femmes en ménopause. J’ai moi-même basculé.
Le moment de bascule : quand tout a commencé
Un jour, mon propre corps a levé la main : « Et moi alors ? Tu m’écoutes quand ? »
Sueurs nocturnes. Prise de poids. Perte de repères. Ce miroir qui me renvoyait une image que je ne reconnaissais plus.Et là, je me suis dit :« C’est ça ? J’en suis déjà là ? Sérieux ? »
Ce moment a été une claque. Une de celles qui réveillent. Et qui bousculent tout.
Ce que j’en ai fait : un virage vers la transmission
J’ai creusé. Exploré. Suivi des formations. Démonté certaines croyances. Testé des approches. Et surtout, j’ai compris que je ne voulais pas juste traverser cette période en silence.
Je voulais en faire quelque chose. En tirer du sens. Et offrir à d’autres femmes un espace pour comprendre, pour agir, pour se réinventer.
Ce que j'ai alors compris
La ménopause, ce n’est pas un déclin. C’est un signal. Une invitation à réévaluer, reprendre ta place. Un appel à la clarté, à la conscience, à la puissance.
C’est le moment parfait pour tout reconfigurer : ton énergie, ta santé, ton rapport au corps, ton rôle, ton désir, ta liberté
Pourquoi Ephisanté existe
Parce qu'aucun espace ne m'a offert ce que je cherchais.
Un endroit décomplexé, libre, sans discours médical anxiogène. Un lieu pour reprendre ton pouvoir sans te justifier, reconnecter ton corps sans le juger, avancer comme tu le sens.
Et ici, on le fait à ma façon :
du vrai, du cash, du cœur. Sans tabou, mais jamais sans fond.
Un espace pour comprendre, explorer, tester, partager — et te transformer.
Mon approche (simple, efficace, incarnée)
Plus de 25 ans de kiné, une passion pour la physiologie féminine et la longévité, un vécu personnel qui me relie à ce que tu vis.
Et une approche de coaching profond, pour se libérer du passé, qui rallume ce qui était en veille — chez toi comme chez moi.
Ce que tu trouveras ici
Concrètement, voici ce que je te propose pour t’accompagner dans ta mue :
Un blog avec des articles clairs, utiles, et sans langue de bois. Une newsletter pleine de vrai, de déclics et d'humour.
Des accompagnements — en individuel ou en cercle — pour t'aider à reprendre ton énergie, ton corps, ta santé, et surtout ta place.
Et aussi : le Journal d'Ariane, une série d'épisodes intimes et fictionnels inspirés de vécus bien réels, qui racontent les bouleversements, les prises de conscience et les petites (r)évolutions d'une femme en transition.
Peut-être toi. Peut-être moi. Peut-être nous toutes.
Ce que je défends profondément
Je refuse qu’on fasse de la ménopause un problème à régler ou un truc honteux à cacher. Pour moi, c’est une étape essentielle et naturelle de la vie d’une femme — aussi incontournable que la puberté, mais bien moins accompagnée. Et ça, c’est plus possible.
C’est un moment brut, intense, parfois chaotique, mais surtout : une chance de revenir à soi.
C’est l’occasion de rebrancher le contact avec ton corps, avec ta vérité, avec ta puissance. De dire : «Maintenant, c’est moi d’abord.»
Je défends aussi le lien entre femmes. Celui qui soutient, qui partage, qui encourage quand ça vacille. Sur ce chemin-là, on va beaucoup plus loin ensemble que seule dans son coin.
Je crois en une ménopause vivante, lucide, puissante.
Pas une version affadie, filtrée, camouflée.
Une version incandescante. Où on n’atténue pas la lumière — on l’embrase.
🔥 It's NOW or never. — Bon Jovi